martedì 12 agosto 2008
Les Amants d'un jour
Edith Piaf
Moi j'essuie les verres au fond du café
J'ai bien trop à faire pour pouvoir rêver
Mais dans ce décor banal à pleurer
Il me semble encore les voir arriver...
Ils sont arrivés se tenant par la main
L'air émerveillé de deux chérubins
Portant le soleil ils ont demandé
D'une voix tranquille un toit pour s'aimer
Au coeur de la ville et je me rappelle
Qu'ils ont regardé d'un air attendri
La chambre d'hôtel au papier jauni
Et quand j'ai fermé la porte sur eux
Y avait tant de soleil au fond de leurs yeux
Que ça m'a fait mal, que ça m'a fait mal...
Moi, j'essuie les verres au fond du café
J'ai bien trop à faire pour pouvoir rêver
Mais dans ce décor banal à pleurer
C'est corps contre corps qu'on les a trouvés...
On les a trouvés se tenant par la main
Les yeux refermés vers d'autres matins
Remplis de soleil on les a couchés
Unis et tranquilles dans un lit creusé
Au coeur de la ville et je me rappelle
Avoir refermé dans le petit jour
La chambre d'hôtel des amants d'un jour
Mais ils m'ont planté tout au fond du coeur
Un goût de leur soleil et tant de couleurs
Que ça m'a fait mal, que ça m'a fait mal...
Moi j'essuie les verres au fond du café
J'ai bien trop à faire pour pouvoir rêver
Mais dans ce décor banal à pleurer
Y a toujours dehors... La chambre à louer...
[Paroles: Claude Delécluse et Michelle Senlis. Musique: Marguerite Monnot (1956)]
[]
Moi j'essuie les verres au fond du café
J'ai bien trop à faire pour pouvoir rêver
Mais dans ce décor banal à pleurer
Il me semble encore les voir arriver...
Ils sont arrivés se tenant par la main
L'air émerveillé de deux chérubins
Portant le soleil ils ont demandé
D'une voix tranquille un toit pour s'aimer
Au coeur de la ville et je me rappelle
Qu'ils ont regardé d'un air attendri
La chambre d'hôtel au papier jauni
Et quand j'ai fermé la porte sur eux
Y avait tant de soleil au fond de leurs yeux
Que ça m'a fait mal, que ça m'a fait mal...
Moi, j'essuie les verres au fond du café
J'ai bien trop à faire pour pouvoir rêver
Mais dans ce décor banal à pleurer
C'est corps contre corps qu'on les a trouvés...
On les a trouvés se tenant par la main
Les yeux refermés vers d'autres matins
Remplis de soleil on les a couchés
Unis et tranquilles dans un lit creusé
Au coeur de la ville et je me rappelle
Avoir refermé dans le petit jour
La chambre d'hôtel des amants d'un jour
Mais ils m'ont planté tout au fond du coeur
Un goût de leur soleil et tant de couleurs
Que ça m'a fait mal, que ça m'a fait mal...
Moi j'essuie les verres au fond du café
J'ai bien trop à faire pour pouvoir rêver
Mais dans ce décor banal à pleurer
Y a toujours dehors... La chambre à louer...
[Paroles: Claude Delécluse et Michelle Senlis. Musique: Marguerite Monnot (1956)]
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